Un accompagnement précieux des traitements du cancer
L’oncologie de la médecine chinoise peut représenter une aide précieuse pour toute personne souffrant de cancer.
L’approche thérapeutique est essentiellement utilisée conjointement aux traitements modernes de médecine occidentale (radiothérapie, chimiothérapie, opérations chirurgicales etc). Ceux-ci visent à réduire la maladie pendant que la médecine chinoise travaillera à restaurer la santé et renforcer l’organisme.
L’efficacité de la médecine chinoise est particulièrement manifeste dans le soulagement des effets secondaires des traitements médicaux classiques.
Le traitement à l’aide de plantes médicinales et d’acupuncture peut aider à contrôler les douleurs, renforcer le système immunitaire et la résistance de l’organisme, réduire les nausées et autres symptômes secondaires ainsi qu’améliorer la qualité de vie.
L’approche thérapeutique est essentiellement utilisée conjointement aux traitements modernes de médecine occidentale (radiothérapie, chimiothérapie, opérations chirurgicales etc). Ceux-ci visent à réduire la maladie pendant que la médecine chinoise travaillera à restaurer la santé et renforcer l’organisme.
L’efficacité de la médecine chinoise est particulièrement manifeste dans le soulagement des effets secondaires des traitements médicaux classiques.
Le traitement à l’aide de plantes médicinales et d’acupuncture peut aider à contrôler les douleurs, renforcer le système immunitaire et la résistance de l’organisme, réduire les nausées et autres symptômes secondaires ainsi qu’améliorer la qualité de vie.
Actuellement des recherches démontrent l’utilité de la médecine chinoise dans l’accompagnement du traitement de cette pathologie. Certaines recherches suggèrent également que la phytothérapie chinoise pourrait améliorer l’efficacité de la chimiothérapie (Lam et al, 2010). Un intérêt croissant est également porté à certaines plantes chinoises qui ont démontré une activité anti-tumorale tant en laboratoire que sur des sujets vivants et représentent des espoirs d’avenir dans la recherche (Yun et al, 2011).
